Communiqués de presse 2019

Vous trouverez tous les communiqués de presse 2019.

Lors de sa séance de novembre, le conseil de fondation de Pro Senectute Suisse a élu Alain Huber comme nouveau directeur. Il était jusqu'ici responsable des thèmes spécialisés, Secrétaire romand et membre de la direction depuis plus de dix ans.

Ursula Koch, directrice de Pro Senectute Suisse, a décidé pour des raisons personnelles de quitter Pro Senectute à la fin de sa période d'essai. Le conseil de fondation et les collaboratrices et collaborateurs de Pro Senectute Suisse le regrettent et la remercient pour son grand engagement. Pendant cette brève période, Madame Koch a engagé de nombreuses mesures importantes et, en collaboration avec la direction et le conseil de fondation, posé les jalons pour un avenir qui se veut couronné de succès pour Pro Senectute Suisse et l'ensemble de l'organisation.

Grâce à la longue expérience d'Alain Huber, et avec l'équipe de direction actuelle, une transition en douceur peut être assurée et les travaux en cours pourront être poursuivis comme prévu. L'équipe de direction d'Alain Huber est composée d'Urs Bösch, membre de la direction (finances et informatique), et de Sonya Kuchen (domaines spécialisés) et Peter Burri Follath (marketing et communication), tous deux membres de la direction élargie. Avec le concours des deux services « Affaires publiques » et « Développement de l'organisation et support », Alain Huber dispose d'une équipe qui sera à même de relever avec succès les tâches à venir.

Contact pour les médias

Pro Senectute Suisse
Peter Burri Follath, responsable Communication et marketing
Téléphone : 044 283 89 43 ou 078 624 28 04
E-mail : medien@prosenectute.ch

 

On associe souvent la vieillesse à des stéréotypes basés sur des préjugés, ce qui mène à la discrimination. Lors du Symposium de gérontologie de Pro Senectute Suisse, des spécialistes en sociologie, en psychologie et en linguistique présentent des pistes et des outils permettant d’éviter les discriminations liées à l’âge.

À l’occasion du Symposium de gérontologie de cette année, organisé conjointement par Pro Senectute Suisse et la Haute école de travail social de Fribourg, 200 spécialistes se sont penchés sur la question de la discrimination envers les personnes âgées, pour savoir comment l’éviter, où se situe la recherche en la matière et comment mettre la théorie en pratique.

À Fribourg, les intervenants, aussi bien suisses qu’étrangers, ont montré quelles formes la discrimination liée à l’âge peut prendre et quelles conséquences elle peut avoir sur la santé et le bien-être des personnes concernées et de l’ensemble de la société. Les discussions en plénum se sont concentrées sur la recherche de solutions et d’outils à l’intention des professionnels du domaine de la vieillesse.

Prix Pro Senectute 2019

Une nouvelle fois cette année, le Prix Pro Senectute, qui récompense des travaux de recherche remarquables dans le domaine de la gérontologie appliquée, a été remis lors du symposium. Le Prix Pro Senectute est doté de CHF 15 000.-.

Les lauréat∙e∙s sont les suivants :

  • 1re place : Marc-Antoine Bornet pour son travail de doctorat Qualité de vie en réadaptation gériatrique : quels facteurs associés ?
  • 2e place : Fabrizio Collareda pour son travail de bachelor sur la prise en charge des patients LGBT âgés
  • 3e place : Jörg Oelschlägel pour son travail de master en gérontologie sur les groupes de vie dans les EMS

L’édition 2019 du symposium bilingue (D/F) a été organisée conjointement par Pro Senectute Suisse et la Haute école de travail social de Fribourg. 

Contact pour les médias
Pro Senectute Suisse
Peter Burri Follath, responsable Communication et marketing

Téléphone : 044 283 89 43 ou 078 624 28 04
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Ces dernières années, le nombre de décès consécutifs à une chute a progressé. En l’espace de dix ans, il a bondi de plus de 40%. Les seniors sont particulièrement touchés. Un entraînement ciblé permettrait pourtant de réduire le risque de chute. C’est pourquoi le BPA et ses partenaires renforcent leur campagne «L’équilibre en marche». Ils ont créé un label de qualité décerné aux cours qui incluent des exercices ciblés de prévention des chutes.

Sur une période de dix ans (de 2007 à 2016), les accidents mortels consécutifs à une chute qui se sont produits dans l’habitat ou durant les loisirs (hors sport) ont augmenté de plus de 40%. En 2016, 1715 personnes en Suisse sont décédées des suites d’une chute, contre 1211 en 2007. Cette progression s’explique principalement par l’évolution démographique. En effet, les seniors sont particulièrement sujets aux chutes. 94% des accidents mortels consécutifs à une chute leur sont en moyenne imputables.

La moitié des personnes de plus de 60 ans déclare s’entraîner

De nombreuses études scientifiques l’attestent: un entraînement régulier de la force, de l’équilibre et des capacités cognitives permet de réduire le risque de chute. Selon le sondage 2018 du BPA auprès de la population suisse, une personne de plus de 60 ans sur deux déclare se soumettre à un entraînement régulier. Parmi elles, près de la moitié des hommes préfèrent s’entraîner à la maison. Les femmes, quant à elles, affectionnent tout particulièrement les cours en groupe (33%) ou une combinaison entre des cours en groupe et un entraînement à domicile (41%).

«Un entraînement régulier et ciblé, dirigé par une personne compétente, est toujours efficace s’il est bien dosé et personnalisé», souligne Barbara Pfenninger, experte du BPA en prévention des chutes. Il est conseillé aux personnes non entraînées de ne pas commencer à faire des exercices toutes seules à la maison. Selon Barbara Pfenninger, pour débuter, il est préférable de participer à un cours supervisé ou de se faire prescrire des séances de physiothérapie par un médecin. L’entraînement recommandé est constitué de trois unités hebdomadaires d’au moins 30 minutes chacune, effectuées en cours ou chez soi et comportant des exercices ciblés de force et d’équilibre.

Nouveau label de qualité pour les cours

Avec le vieillissement de la population, la hausse du nombre d’accidents consécutifs à une chute devrait se poursuivre. Aussi, le BPA, Pro Senectute Suisse et Promotion Santé Suisse ont décidé de renforcer leur campagne de prévention des chutes «L’équilibre en marche». Ils sont soutenus dans leur démarche par leurs partenaires techniques: physioswiss, la Ligue suisse contre le rhumatisme et l’Association Suisse des Ergothérapeutes (ASE). Ils ont créé un label de qualité décerné aux cours et autres offres qui incluent des exercices ciblés de prévention des chutes. L’attribution du label est réalisée sur la base de critères scientifiques.

Le site relooké equilibre-en-marche.ch répertorie plus de 1500 offres de cours. Pour trouver les cours proposés à proximité de chez soi, il suffit de saisir un code postal. Le site comporte également des programmes d’entraînement à domicile dans différents niveaux de difficulté.

 

Contact pour les médias

  • Service de presse du BPA, +41 31 390 21 21
  • Service de presse de Pro Senectute Suisse, +41 44 283 89 57
  • Service de presse de Promotion Santé Suisse, +41 31 350 04 04

 

Pro Senectute Suisse, en collaboration avec gfs-zürich, a cherché à savoir si la population de notre pays se sent discriminée en raison de l’âge. Le sondage représentatif réalisé a porté sur les thèmes suivants : accès aux informations, accès aux soins, recherche d’emploi, offres de loisirs, contacts entre générations et considération envers les personnes âgées dans l’espace public.

Selon les extrapolations, au cours des six derniers mois, c’est surtout dans le cadre de la recherche d’emploi et de l’accès aux soins que les personnes interrogées se sont senties désavantagées, à savoir respectivement 830 000 personnes (14%) et environ 766 000 (11%). La grande majorité des personnes interrogées ne s’estiment en revanche pas désavantagées dans l’offre de loisirs (92%) et ne se sentent pas limitées dans l’accès aux informations dont elles ont besoin (91%) et ce, en dépit de la digitalisation.

Si l’on examine de plus près les résultats dans les diverses catégories d’âges, le tableau est plus contrasté, en particulier pour les personnes à partir de 40 ans jusqu’au départ à la retraite. Dans cette tranche d’âge, une personne sur cinq, soit 535 000 personnes, s’estime désavantagée lors de la recherche d’un emploi. Pour Pro Senectute Suisse, ces chiffres sont alarmants. Un départ anticipé du monde du travail au cours des dix dernières années de vie professionnelle augmente le risque d’être touché par la pauvreté une fois à la retraite.

En ce qui concerne l’accès aux soins, plus de 180 000 personnes en âge AVS, soit plus d’une sur dix, se sentent désavantagées. Les coûts sont donnés en exemple. En outre, les personnes interrogées ne se sentent pas prises au sérieux lors du diagnostic, du traitement et de la réadaptation, ou s’estiment être privées de traitements en raison de leur âge.

Les personnes âgées se sentent mieux considérées qu’on ne l’imagine

Selon le sondage, la considération envers les personnes âgées dans l’espace public est bien présente. La grande majorité des personnes interrogées ne se sentent ni avantagées ni désavantagées dans leur quotidien. Plus elles sont âgées, plus elles ont l’impression de bénéficier d’égards dans l’espace public.

Pour Ursula Koch, nouvelle directrice de Pro Senectute Suisse depuis le 1er septembre 2019, les résultats du sondage mettent en évidence des éléments positifs et négatifs : « Chaque cas de discrimination est un cas de trop. Nous sommes quotidiennement en contact avec des personnes qui passent la dernière partie de leur vie dans des conditions indignes, une réalité invisible pour le public. Nous devons tout mettre en œuvre pour y remédier. » Parallèlement, elle voit comme un progrès le fait qu’une grande partie de la population âgée n’a pas l’impression d’être victime de discrimination au quotidien. « En tant qu’organisation œuvrant pour les personnes âgées, nous nous investissons pleinement dans ce sens. »

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Pro Senectute Suisse
Judith Bucher
044 283 89 57
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À l’occasion de la Journée mondiale de la maladie d’Alzheimer, Pro Senectute et Alzheimer Suisse invitent aujourd’hui tous les amoureux du tricot à se munir d’aiguilles et de laine pour soutenir la deuxième édition de la campagne #perso – « Tricotons contre l’oubli ! ». L’an dernier, l’action avait permis de distribuer quelque 60 000 porte-gobelets tricotés à la main dans plus de 400 boulangeries-confiseries du pays, afin de sensibiliser la population à la problématique de la démence et à ses conséquences au quotidien. Le coup d’envoi de la deuxième campagne nationale de tricot a été donné aujourd’hui par plus de 60 amateurs et amatrices de tricot sur un bateau de la compagnie de navigation Untersee und Rhein spécialement réservé pour l’occasion.

L’an dernier, les virtuoses des aiguilles, jeunes et moins jeunes, ont exercé leurs talents dans des cercles dédiés, des cafés et des commerces de lainages, et partagé leurs créations décorées avec amour sur les réseaux sociaux. Mais les artistes de la maille à l’endroit et à l’envers n’ont pas été les seuls à participer à l’action. La clientèle des boulangeries-pâtisseries et le grand public ont également réservé un accueil positif à cette action de sensibilisation. Le coup d’envoi de la deuxième édition a été donné, l’objectif étant de tricoter le plus grand nombre possible de porte-gobelets afin d’envoyer un message fort. Les amateurs et amatrices de tricot lancent aujourd’hui même un premier signal éloquent via l’action qui se déroule sur le bateau prévu à cet effet.

Comment participer ?

Toutes les personnes intéressées peuvent dès maintenant se mettre à confectionner des porte-gobelets bariolés. Ces derniers seront collectés et étiquetés d’ici au 6 décembre et remis gratuitement le 22 janvier 2020 à l’achat d’un café à l’emporter, accompagnés de précieux conseils pour interagir avec les personnes concernées. Merci d’envoyer vos porte-gobelets tricotés à l’adresse suivante : GEWA, Abteilung Logistik, memo-info, Alpenstrasse 58, 3052 Zollikofen.

Le cercle des commerces participants s’est élargi cette année. Outre les boulangeries-pâtisseries, des kiosques, des cafés et des stations-service remettent également les porte-gobelets. Tous les commerces qui vendent des cafés à l’emporter sont cordialement invités à participer à l’action.

Conseils pour un accompagnement adéquat au quotidien des personnes atteintes de démence

La Suisse compte quelque 155 000 personnes atteintes de démence, une maladie qui passe souvent inaperçue au quotidien. Selon les prévisions, ce chiffre doublera d’ici 2040. En lançant la campagne #perso, Pro Senectute et Alzheimer Suisse souhaitent sensibiliser la population à la réalité de la démence et à ses conséquences au quotidien et prodiguer des conseils pour interagir avec les personnes concernées, par exemple sur les aspects à prendre en compte lorsqu’on parle avec elles ou sur les bons réflexes à avoir face à une personne complètement désorientée.

Contact pour les médias

Pro Senectute Suisse
Judith Bucher
044 283 89 57 ou 079 458 39 49
E-Mail: 

Alzheimer Suisse
Evelyne Hug
058 058 80 40
E-Mail: 

Le Prix Chronos 2020, c’est une sélection de cinq livres jeunesse destinés aux ados âgés de 9 à 12 ans ainsi qu’aux seniors. Jeunes et moins jeunes vont les lire, seuls ou ensemble, puis ils se rencontreront pour en discuter et échanger leurs points de vue.

Ces cinq histoires parlent toutes des relations entre les générations. La vie d’hier et d’aujourd’hui abordée sous différents angles. Ce sont les histoires de:

  • Khadim, le jeune réfugié passionné de poésie dans : « Khadim le petit lord » de Gwladys Constant

  • Juliette et Flo, deux sœurs pleines d’imagination et d’ingéniosité qui vont surprendre leur grand-mère dans : « La fiesta de Mamie Pommerol » de Valentine Goby

  • Simon qui a mal car Simone, la grand-mère d’en face chez qui il était toujours fourré, est morte. Une rencontre va changer sa douleur en énigme dans : « L’arrêt du cœur » d’Agnès Debacker – illustrations Anaïs Brunet

  • Felix, en vacances chez sa grand-mère au Portugal. Il va découvrir d’autres manières de voir la vie, et aussi cette fille qui l’attire… mais qui l’énerve tout autant dans : « Moi et la fille qui pêchait des sardines »  d’Eva Kavian

  • la rencontre touchante entre Rom, un jeune garçon d’un milieu défavorisé, et un couple de personnes âgées qui l’accueille, l’écoute, le comprend, le temps des vacances en bord de mer dans : « Vue sur mer » de Jo Hoestlandt 

Après la lecture, chaque participant votera pour son ouvrage préféré, et l’auteur dont le livre aura reçu le plus de voix se verra remettre le Prix Chronos au printemps lors d’une cérémonie.

Les inscriptions pour cette édition du Prix Chronos sont ouvertes, les lectures dans les classes peuvent débuter. Seniors, enseignants, bibliothécaires, animateurs ou adolescents peuvent consulter la liste des livres en lice et s’inscrire via notre site www.prosenectute.ch/prixchronos-fr par courriel à  ou par téléphone au 021 925 70 15.

Contact pour les médias
Sylvie Fiaux
Coordinatrice Prix Chronos et médias
Tél. 021 925 70 15 / 079 764 95 98
E-mail : 

Fondation Pro Juventute
Monique Ryf, responsable Suisse romande
Tél. : 021 622 08 17
E-mail : 

 

La commission compétente du Conseil des États délibérera bientôt sur la motion intitulée « Prestations complémentaires pour les personnes âgées en logement protégé». CURAVIVA Suisse, senesuisse, Pro Senectute Suisse et Aide et soins à domicile Suisse approuvent expressément cette motion. Compte tenu de l’importance croissante des logements protégés, des règles claires garantissant sur tout le territoire des offres adaptées et leur financement sont nécessaires. À travers l’étude tout juste publiée « Habitat protégé en Suisse », les quatre organisations faîtières nationales apportent une contribution étayée au débat politique et à une mise en oeuvre tournée vers la pratique.

Outre les soins ambulatoires avec aide à domicile et les soins stationnaires avec assistance en établissement médico-social, l’« habitat protégé » revêt en tant que troisième forme intégrée d’habitat pour personnes âgées ou handicapées une importance croissante. La notion d’« habitat protégé » reste cependant mal définie. Le débat relatif à la mise en oeuvre optimale de ce type d’habitat est rendu difficile par l’absence de lois, par les grandes différences régionales en termes d’offres et par la confusion qui règne autour de son financement. La motion intitulée « Prestations complémentaires pour les personnes âgées en logement protégé » (18.3716) vise à remédier à cette situation et à faire aussi financer ce type d’habitat par les prestations complémentaires. Elle a été adoptée par le Conseil national lors de sa session de printemps 2019 et sera examinée bientôt par la commission homologue compétente du Conseil des États (CSSS-CE). CURAVIVA Suisse, senesuisse, Pro Senectute Suisse et Aide et soins à domicile Suisse approuvent expressément la motion, tout comme l’adaptation subséquente de la loi.


Une nouvelle étude expose un modèle pour adapter les standards en matière d’offres aux besoins des personnes concernées
La motion 18.3716 demande entre autres que la loi prévoie une offre axée sur les besoins. L’étude tout juste publiée « Habitat protégé en Suisse : les fondements d’un modèle » que Nursing Science & Care a réalisée pour le compte de CURAVIVA Suisse, senesuisse, Pro Senectute Suisse et Aide et soins à domicile Suisse montre les standards techniques à appliquer. Ce document synthétise les connaissances scientifiques, les concepts existants et les expériences pratiques avant de définir les conditions structurelles, matérielles et techniques requises comme standards minimums pour pouvoir parler de « logement protégé ». Il apporte ainsi une contribution largement étayée au débat politique et génère des impulsions pour les décisions à prendre concernant les prestations à mettre en place dans ce type de logements et leur financement.


Un modèle à quatre niveaux d’aide centré sur le client
L’étude présente un modèle axé sur les besoins des personnes âgées et des personnes en situation de handicap. Elle définit les prestations à leur fournir en fonction des aides dont elles ont le plus souvent besoin. À quelles personnes l’« habitat protégé » permet-il de continuer à vivre le plus longtemps possible de manière autonome, dans quelles situations et avec quel objectif ? Cette question était au coeur de la conception de ce modèle inédit en Suisse. En fonction de la description des différents degrés de soins, l’« habitat protégé » se répartit en quatre niveaux (A – D). L’habitat protégé de la catégorie D propose la plus petite et celui de la catégorie A la plus large offre de prestations.

  • Les prestations de la catégorie D se limitent à l’infrastructure de l’habitat (sans barrières), aux services dont les résidentes et les résidents ont besoin pour assurer leur sécurité (système d’appel d’urgence) et au soutien dans le cadre des activités quotidiennes (p. ex. pour le ménage, la cuisine, les courses et les tâches administratives).
  • Dans la catégorie C, la santé et la capacité à mener sa vie quotidienne de façon autonome sont évaluées par un professionnel. Ainsi, l’accent est mis sur le maintien et le développement des facultés des personnes pour leur permettre de vivre le plus longtemps possible de façon autonome. Un professionnel est à disposition en tant qu’interlocuteur pendant les horaires de bureau.
  • Dans la catégorie B, les prestations couvrent tous les aspects des soins et de l’accompagnement. Les ressources disponibles des personnes et de leurs proches sont déterminées systématiquement, de même que les facteurs et les risques sanitaires à prendre en compte. Les prestations dont ces personnes ont besoin et la disponibilité 24 heures sur 24 de professionnels sont ensuite organisées.
  • L’habitat protégé de catégorie A permet de rester dans son logement familier jusqu’à la fin de sa vie. L’équipe de soutien est complétée par des professionnels spécialisés dans la physiothérapie, l’éducation spécialisée, la démence sénile, les maladies psychiques, les dépendances ou les soins palliatifs.

Dans toutes les catégories, l’objectif est le maintien de la dignité, de la plus grande autonomie possible et de la qualité de vie de la personne prise en charge.

 

Sur les 2000 participants qui ont lu les cinq livres sélectionnés pour le Prix Chronos 2019, plus de 600 se sont rendus au Salon du livre ce mercredi 1er mai pour applaudir Alexandre Chardin. Cet auteur remporte la première place de notre concours littéraire intergénérationnel avec son ouvrage Le goût sucré de la peur, édité par Magnard Jeunesse.

Au vu de la grande affluence que remporte chaque année la cérémonie de remise du Prix Chronos, une salle attenante au Salon du livre et de la presse a été nécessaire afin de pouvoir accueillir les 600 participants impatients de rencontrer l’auteur de l’ouvrage Le goût sucré de la peur.

Histoire touchante d’un groupe de jeunes ados qui chapardent de belles fraises bien juteuses dans le jardin d’une grand-mère. Mais est-ce vraiment par hasard qu’elles ont été plantées là, ces fraises? Cet hymne à la nature, ce retour aux sources a été choisi par la majorité du jury juniors, âgés de 10 à 12 ans, et du jury seniors.

Sous la houlette de Jean-Marc Richard, Alexandre Chardin a conquis son public par sa simplicité, son humour et sa joie de vivre. Un grand moment d’émotion qu’il a su, une fois encore, partager avec son public.

L’humour fut aussi au rendez-vous grâce à Sarkis Ohanessian, un pro de l’impro, qui a emmené la salle dans des dimensions humoristiques au fil des pages des livres en compétition.

Cette magnifique cérémonie s’est terminée par une séance de dédicaces qui a ravi petits et grands.

Organisé par Pro Senectute depuis 1997, en collaboration avec Pro Juventute depuis 2013, ce concours littéraire, destiné aux enfants âgés de 10 à 12 ans ainsi qu’aux seniors, est une belle occasion de promouvoir la lecture et de renforcer les liens entre générations. Il a lieu chaque année et est ouvert à tous. Retrouvez toutes les informations pour la prochaine édition sur www.prixchronos.ch/fr.

Contact pour les médias
Sylvie Fiaux
Coordinatrice Prix Chronos et médias
Tél. 021 925 70 15 / 079 764 95 98
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Fondation Pro Juventute
Monique Ryf, responsable Suisse romande
Tél. : 021 622 08 17
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Le festival de films visages, unique en Suisse, pose son regard sur les relations entre générations et les enjeux de société. Le festival visages, ce sont des lieux symboliques de Martigny et région et, surtout, des personnes qui ouvrent leur porte pour vous accueillir !

L’édition 2019 se déroulera du 22 au 29 mars, avec une programmation de 38 films projetés dans 14 lieux: cave, café, galerie d’art, atelier, fleuriste… Organisé par Pro Senectute Suisse, le festival offre une palette de films uniques: portraits, histoires de vie, reflètent des manières d’être au monde.

L’ouverture officielle du festival visages a lieu le :
vendredi 22 mars à 18h00 au cinéma Casino de Martigny avec la projection de
« Femmes du chaos vénézuélien » (2018/83’), en présence de Margarita Cadenas, réalisatrice.
Le film au coeur de l’actualité donne la parole à cinq femmes qui racontent au travers de leur histoire, leur désarroi au quotidien dans un pays sous haute tension.

Pour clore ce festival, la musique est à l’honneur avec le film Mare Nostrum de Michelle Brun consacré à la musique de Jordi Savall, suivi du concert « Planète bleue ». 40 musiciens, issus du conservatoire cantonal de musique du Valais présentent une création originale d’Alexandre Mastrangelo, pour quatuor de trombones et fanfare philharmonique. Ce concert de clôture a lieu à la Fondation Pierre Gianadda le 29 mars à 21h00.

Informations pratiques :
Entrée cinéma : CHF 16.-
Entrée soirée courts (26.3.19) : CHF 16.-
Entrée film divers lieux : CHF 12.-
Abonnement festival : CHF 150.-
Abo journalier samedi-dimanche : CHF 42.-
Soirée de clôture à la Fondation Pierre Gianadda : offerte

Vente au Manoir de la ville de Martigny, aux cinémas Casino et Corso et dans les divers lieux le jour de la projection.
Pas de réservation de place
Projection chez particuliers : places limitées


Organisation : Pro Senectute Suisse, Manoir de la ville de Martigny, Ville de Martigny

Contact pour les médias
Olivier Taramarcaz
Initiateur du festival visages 
Rue du Simplon 23 
1800 Vevey 
E-mail :
Tél. : 021 925 70 10 

Sylvie Fiaux
Coordinatrice médias
Rue du Simplon 23
1800 Vevey
E-mail :
Tél. 021 925 70 15

Le Conseil de fondation de Pro Senectute Suisse a choisi lors de sa séance du 25 février Ursula Koch à la tête de la direction de Pro Senectute Suisse. Elle prendra ses fonctions le 1er septembre 2019.

Ursula Koch est actuellement membre de la direction de la Ligue Suisse contre le cancer. Auparavant, elle a travaillé pour le Département de la santé du canton de Zoug puis pour l’Office fédéral de la santé publique où elle a occupé diverses fonctions dirigeantes. Titulaire d’un doctorat en psychologie, Ursula Koch est spécialisée dans la recherche sur les services de santé et dispose d’une solide expérience en matière de management des ONG et des associations, de conseil psychosocial et de prévention. Âgée de 41 ans, Ursula Koch succédera à Werner Schärer qui, après plus de douze ans à la tête de la direction de Pro Senectute Suisse, prendra sa retraite en été 2019.

Contact pour les médias
Pro Senectute Suisse, Peter Burri Follath, responsable Communication et marketing
Téléphone : 044 283 89 43 ou 078 624 28 04
E-mail :

Dès aujourd’hui, quelque 400 boulangeries et confiseries de tout le pays remettront à leurs clients des porte-gobelets tricotés à la main à l’achat d’un café à l’emporter. Avec la campagne #perso, Pro Senectute et Alzheimer Suisse, en collaboration avec les boulangeries-confiseries artisanales, attirent l’attention sur la démence et ses conséquences au quotidien.

La Suisse compte quelque 151 000 personnes atteintes de démence. Cette maladie fait perdre progressivement l’orientation spatiale et temporelle. Elle perturbe également la mémoire et le langage. Au stade initial, les personnes atteintes de démence continuent de vivre à domicile et d’avoir une vie sociale. C’est précisément sur ce point que la campagne met l’accent : les boulangeries et confiseries participantes informent leurs clientes et clients au moyen de cartes MEMO-BOX, qui décrivent les points à prendre en compte dans le dialogue avec une personne atteinte de démence et l’attitude à adopter avec une personne désorientée.

Sensibiliser la population
Pour Silvan Hotz, président de l’Association suisse des patrons boulangers-confiseurs et lui-même exploitant, cette campagne avec Pro Senectute et Alzheimer Suisse s’avère passionnante : « Les boulangeries-confiseries voient de nombreux clients tout au long de la journée et ont un contact privilégié avec chacun d’eux. En participant à l’action ‹ #perso – Tricotons contre l’oubli ›, nous jouons un rôle important dans la sensibilisation de la population. Je suis très fier que les boulangeries-confiseries soient si nombreuses à participer à cette campagne d’un genre nouveau pour notre branche. »

Déroulement
Depuis septembre, une multitude de bénévoles des quatre coins de la Suisse ont tricoté plus de 61 000 porte-gobelets de toutes les couleurs pour cette campagne de sensibilisation. À partir du 22 janvier, quelque 400 boulangeries-confiseries de tout le pays remettent un porte-gobelet et une carte informative de la MEMO-BOX à l’achat d’un café à l’emporter. Ces cartes contiennent de précieux conseils sur l’attitude à adopter avec les personnes concernées. L’action est valable pour une durée limitée, dans la limite des stocks disponibles.

Contact pour les médias
Pro Senectute Suisse, Judith Bucher, 044 283 89 57,
Alzheimer Suisse, Nani Moras, 058 058 80 41 ou 075 434 98 10,
Association suisse des patrons boulangers-confiseurs, Sarah Stettler, 031 388 14 14,

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